Jeux en bref

Je n'y ai pas joué beaucoup et n'y rejouerai probablement pas.

Age of Napoleon

Revivez les guerres napoléoniennes de 1805 à 1815 avec ce wargame "léger", pour les habitués du genre, mais déjà bien relevé pour des habitués aux jeux de société.

Description complète et aide de jeu.

Agra

Agra est un jeu de pose d'ouvriers, transformation de ressources et livraison de commandes, assez classique sur lequel viennent s'ajouter des éléments plus originaux de gestion de nos ouvriers (couchés/debout) et du niveau de production de nos ressources.

Je suis partagé entre une impression de gâchis et d'arnaque. Il y a de très bonnes idées dans Agra, mais l'ensemble paraît inutilement lourd. 16 ressources qui n'ont rien de vraiment spécifique, mais permettent de démultiplier les commandes possible, c'est trop et ça ne présente aucun intérêt ludique.
Mais le pire du jeu reste sont ergonomie. Il est splendide, mais question lisibilité ça n'est vraiment pas ça. Et le plateau empire penché, est une fausse bonne idée. Les pions tombent sans arrêt, quand ce n'est pas le plateau lui-même. Bref, un jeu mal fini et mal édité, à oublier.

Bretagne

Bretagne est un gros jeu de gestion ayant pour thème la construction de phares en Bretagne. Cette construction s'effectue à plusieurs, et elle est soumise aux aléas météo.

Le jeu ne m'a pas déplu, mais pas non plus emballé. Le thème donne envie, et son côté semi-coopératif pour la construction des phares est intéressant. Mais on se perd un peu dans un ensemble de mécanismes un peu lourd pour pas grand chose. Etant donné l'abondance de nouveaux jeux, nous l'avons laissé de côté sans avoir suffisamment envie d'y revenir.

Carcassonne Damoiselle et Dragon

3ème extension officielle pour Carcassonne, celle-ci se joue avec ou sans les précédentes.
Vous avez maintenant 30 nouvelles tuiles sur lesquelles figurent soit un volcan (nid du dragon), un dragon, une damoiselle, ou une porte magique (pour faire arriver un partisan presque n'importe où). On a droit également à 2 nouveaux pions : un dragon et une fée.
Les nouveautés qui s'ajoutent aux règles se résument ainsi : le dragon fait fuir les partisans, la fée les protège et la damoiselle emporte avec elle un chevalier.

Cette extension augmente un peu plus la part d'aléatoire avec le dragon et la damoiselle (hasard de la pioche des tuiles). Mais même la gestion de la fée, et de tous les points supplémentaires qu'elle peut apporter, s'avère laborieuse, et nuit à la fluidité du jeu.

Castel

Castel est un jeu de cartes, où chaque joueur essai de défausser toutes ses cartes avant les autres, en les posant dans et autour du château. Chaque carte représente un personnage, et chaque personnage va soit permettre d'effectuer une action (renvoyer une carte dans la main d'un joueur par exemple) soit imposer des conditions pour pouvoir être jouée (exiger la présence d'un autre carte, ou au contraire son absence). Les personnages ont chacun une zone donnée sur laquelle ils doivent être placés. Cela peut être soit hors du château, soit sur les murs ou encore dans la cours. Les places sont réduites, et les interactions entre personnages vont donc rythmer le jeu.

Castel pousse à l'extrême le principe des cartes action, et à mon goût c'est trop. Trop de cartes, trop de combinaisons pour une partie finalement trop longue.

Ciblux

Un petit plateau/puzzle représente un labyrinthe que les 4 pions des joueurs doivent parcourir pour rejoindre la case centrale. Chaque joueur dispose d'un "chasseur", le ciblux, qui lui permet d'éjecter les pions adverses du plateau, les obligeants à recommencer leur parcours. Les ciblux eux-mêmes ne peuvent se faire éjecter, sauf en fin de partie, lorsqu'un joueur a déjà placé ses 4 pions en sécurité, sur la case centrale. Il faut alors qu'il éjecte le ciblux adverse pour gagner la partie.

Ciblux c'est comme les petit chevaux, mais en moins "fun". Le dé gouverne tout, et la partie n'a pas plus d'intérêt. Et comme elle a le "fun" en moins...
Le jeu aurait probablement gagné en étant plus orienté enfants, avec un thème et un matériel adapté.

Clippers

Clippers est la réédition d'un ancien jeu du nom de Santa Fe. Pour l'occasion le thème est passé des lignes ferroviaires aux routes maritimes. Il propose de prendre le contrôle de Clippers, ces grands voiliers utilisés à la fin du XIXème siècle et au début du XXème, pour tracer les routes maritimes des compagnies, aux travers des îles du Pacifique.

J'étais plein d'espoirs et ils ont été très déçus. Tout le monde a intérêt d'aller +/- vers les mêmes zones, à savoir les comptoirs qui rapporteront le plus. Ca limite les stratégies et du coup, je me suis assez vite ennuyé.

Cottage Garden

Uwe Rosenberg continue d'explorer les possibilités de créer des jeux autour des pièces de Tétris. Après l'excellent Patchwork qui nous invitait à la couture, nous voici maintenant dans les jardins, avec des chats et des pots de fleurs.

Après Patchwork réservé à 2 joueurs, Cottage Garden fait un peu figure d'adaptation pour 4 joueurs. On y retrouve les pièces de Tétris, mais on perd une bonne partie de la contrainte d'occupation de l'espace. Et puis surtout on passe son temps à manipuler les éléments du jeu.
Quand au nouveau système de décompte, il est beaucoup trop abstrait pour un jeu familial.

La Crique des Pirates

La Crique des Pirates est la réédition de Piratenbucht sorti en 2002 chez Amigo. Il propose de nous mettre dans la peau de pirates pillant les îles de la Crique, et livrant bataille aux navires qui croisent leur route.

Le jeu est particulièrement chaotique et aléatoire. Les dés ont un rôle important dans la résolution des combats, et des cartes à effet viennent s'y ajouter. Ca rend le jeu un peu confus, d'autant plus que la règle manque de clarté. C'est trop pour moi.

Crossing Oceans

Après le décevant TransAtlantic, Mac Gerdts avait annoncé retravailler le jeu pour l'améliorer. Le résultat arrive donc 5 ans plus tard, sous le nom Crossing Oceans. Il reprend une grande partie des mécanismes de son aîné (le renouvellement des bateaux), et réintroduit la roue d'action, si chère à l'auteur.

Malgré un matériel encore plus beau, le résultat est toujours aussi décevant. Mécaniquement, le jeu est sans doute un peu mieux ajusté, mais ludiquement, on s'ennuie. Les tours de jeu sont bien trop répétitifs. Dommage car certaines idées dans le renouvellement des bateaux, apportent une intéraction intéressante et qui fait souvent défaut dans les jeux d'aujourd'hui. Mais après 5 ans d'attente, on attendait beaucoup mieux.

Dead of Winter

Dans Dead of Winter, vous devez gérer une colonie de survivants. Trouvez de la nourriture et des armes pour la protéger et la défendre, mais attention les zombies qui accourent au moindre bruit.

Le jeu a beaucoup fait parler de lui et conquis de nombreux amateurs de jeux coopératifs. Il faut reconnaître qu'il exploite bien son thème et reprend les meilleurs éléments de bon nombreux des ténors du genre. Pourtant je ne parviens pas à adhérer. Trop mécanique, trop aléatoire, trop de détails avec lesquels se prendre la tête pour un résultat qui ne me semble pas à la hauteur.

Dominant Species : The card game

Reprenant le thème et le graphisme du jeu de plateau, la version jeu de carte propose de se battre pour la dominance de 10 "biomes" (écosystèmes) successifs. A son tour on joue une carte (espèce animale ou événement) et c'est tout. On applique l'effet s'il y en a un et lorsque tout le monde a passé, on compte les points des cartes jouées par chacun, ainsi que les majorités pour chaque type d'élément disponible dans l'écosystème.

On démarre la partie avec 7 cartes, et on en pioche seulement 2 nouvelles à la fin de chaque manche (résolution d'un écosystème). Ca laisse peu de loisir pour construire une stratégie et beaucoup d'importance au hasard. Et les 10 "biomes" paraissent bien longs à résoudre...

Evolution

Dans Evolution vous prenez le contrôle d'espèces animales dont vous définissez vous-même les caractéristiques, à partir des cartes "trait". Les espèces sont initialement herbivores, mais peuvent devenir carnivores. Votre objectif est de parvenir à nourrir vos espèces. Mais si les herbivores se nourrissent sagement dans leur coin, selon la nourriture mise à disposition par les joueurs, les carnivores par contre vont attaquer les espèces plus faibles.

Le coeur du jeu est son système de gestion de la nourriture. Malheureusement, il est particulièrement laborieux et répétitif. Les carnivores attaquent, et affaiblissent les espèces qu'on a bien du mal à maintenir en vie. Tout se joue sur les traits que l'on pioche et qui nous permettent de résister plus ou moins bien. Ca n'est vraiment pas passionnant.

La Guerre de L'Anneau

La Guerre de l'Anneau propose de revivre les combats qui se sont joués durant l'histoire du Seigneur des Anneaux. Le jeu se rapproche beaucoup d'un wargame, il est complexe et demande un investissement personnel très important et régulier pour véritablement en profiter.

Même si j'affectionne particulièrement le thème, le style du jeu ne me convient pas, et la qualité assez médiocre de la règle de cette édition n'a rien arrangé. J'ai donc renoncé à l'approfondir... Description complète du jeu.

Hammer of the Scots

Il s'agit de ma première incursion dans le monde du wargames. Hammer of the Scots propose de revivre l'épopée de William Wallace, immortalisée à l'écran par le film Braveheart, de et avec Mel Gibson.
La reconstitution historique est particulièrement intéressante. Et même si je n'ai pas été déçu par le jeu, je n'ai pas suffisamment accroché pour enchaîner les parties avant d'en oublier les règles. Je préfère donc me consacrer à des jeux qui me correspondent mieux et renonce à faire une critique de celui-ci.

Description complète et aide de jeu.

Hase & Igel

Le lièvre & le hérisson est un jeu de course, avec des carottes, à dépenser, et des salades, à manger. Il faut reculer pour récupérer des carottes qui permettent d'avancer et toutes les cases induisent des effets particuliers qu'il faut gérer au mieux. Ce jeu a reçu le "Spiel des Jahres" en 1979.

Je vais me faire des ennemis, tant ce jeu fait l'unanimité, mais franchement je n'ai pas accroché. J'ai trouvé les règles à appliquer pour chaque case un peu lourdes, sans parler de la gestion des places et de l'arrivée... Dommage le thème était pourtant amusant.

Jorvik

Jorvik propose un système d'achat original et vraiment bien pensé, dans lequel le prix à payer dépend du nombre de joueurs qui se sont placés en attente pour une carte. A mesure que les joueurs retirent leurs pions et refusent de payer, ils diminuent le coût pour les suivants.

Le système d'achat est vraiment excellent, mais le reste du jeu est à revoir, avec notamment une gestion des ressources qui n'est vraiment pas passionnante.

Keyper

Après Keythedral, Key Harvest (Demetra), Key Market et Keyflower, Richard Breese continue d'approfondir les possibilités d'optimisation autour de son thème fétiche : production/transformation et stockage de ressources.

Mon jugement peu paraître un peu brutal, d'autant plus que nous n'avons fait qu'une seule partie. Mais j'ai été très déçu des sensations de jeu. 10 espèces d'animaux qui n'ont pas plus d'intérêt les unes que les autres, et ne sont là que pour augmenter un peu plus les solutions permettant d'obtenir des points de victoire. Ça devient ridicule cette surenchère qui n'apporte rien.

Kingsport Festival

Kingsport Festival est une version retravaillée de Kingsburg. Les joueurs incarnent des adorateurs du Cthulhu qui essaient de faire basculer la petite ville de Kingsport dans l'horreur en invoquant différentes créatures.

Dés notre première partie, il est apparue que les nouveautés restent d'un intérêt mineur et surtout que la réalisation n'est pas à la hauteur. Devoir lire les pouvoirs des bâtiments sur les tuiles disposées sur le plateau principal au lieu des plateaux individuels de Kingsburg ça n'est vraiment pas pratique du tout. Du coup on ne les exploite pas correctement, d'autant plus qu'on a déjà les cartes de sorts à gérer. Non vraiment je préfère rejouer à Kingsburg qui est plus direct, plus agréable et plus rapide.

Ligretto

Ligretto reprend le principe des réussites en y ajoutant un aspect compétitif, puisqu'il faut ici aller plus vite à reconstituer ses suites de nombre que ses adversaires afin de vider en premier son "ligretto", à savoir une pile de 10 cartes tirées au sort en début de partie.

Les réussites sont des jeux solitaires, fait plutôt pour se détendre, dans le calme. Vouloir les rendre compétitives en se basant principalement sur la vitesse d'exécution c'est aller totalement à l'inverse de cela, mais ça n'apporte rien de vraiment ludique. Ce sera sans moi.

London

Jeu de cartes de Martin Wallace aux mécanismes plutôt astucieux et originaux. Description plus complète ici.

Malgré ses qualités, le poids des nombreux détails de mécanismes m'a gêné et nous l'avons laissé de côté sans avoir envie d'y revenir.

Profiler

Jeu d'ambiance qui semble poussé par le monde ludique comme étant celui à ne pas rater en 2017. Profiler consiste à faire deviner une personnalité par élimination. Pour cela, le joueur dispose de 2 phrases tirées au sort. Elles sont relatives à des traits de personnalité qu'il doit placer sur une échelle de valeur pour indiquer le degré d'accord avec la personnalité à deviner.

Déjà à la lecture de règle j'étais très perplexe, mais dès le début de la partie on a bien senti venir le flop. Personnages devinés rapidement. Pas d'enjeu, de tension, d'humour. On s'est ennuyé ferme. Un jeu à oublier.

Red7

Red 7 est un petit jeu de cartes dans lequel vous devez être en position de gagner à la fin de chacun de vos tours, sinon vous perdez immédiatement...
Les cartes peuvent être jouées pour elles-mêmes ou pour changer les conditions de victoire.

Séduit par le principe et rassuré par la présence de Carl Chudick, nos premières parties ont été particulièrement ennuyeuses. Nous avons joué selon la logique qui s'imposait à nous à chaque tour. La réflexion est minime, et l'amusement aussi.

Rialto

Rialto est un jeu de majorité plus léger que les dernières productions de Stefan Feld. Dans le jeu, les cartes pilotent les actions qui seront effectuées. Il faudra par conséquent les choisir judicieusement tout comme les bâtiments qui apporteront des capacités supplémentaires à condition de payer pour chacune de leur utilisation.

S'il est bien un auteur dont je ne m'attendais pas à être déçu c'était Stefan Feld. Et bien ce fut pourtant le cas avec Rialto. Même s'il n'est pas mauvais, le jeu est poussif, extrêmement mécanique et classique. De l'optimisation à l'allemande poussée un peu trop à l'extrême à mon goût, surtout pour un jeu de ce calibre. Je préfère donc consacrer mon temps aux autres créations de l'auteur.

Rise to Nobility

Le principe est assez original et l'idée générale presque politique : Se battre pour accueillir des populations nouvelles. On utilise des artisans dans des ateliers qui nous rapportent des ressources grâce auxquelles nous pourront accueillir des membres de différents peuples. Le tout grâce à nos dés.

Si le principe de base du jeu est plutôt sympathique, la présence de 6 ressources ont fonctions totalement identiques ne présente aucun intérêt. Il s'agit d'un artifice utilisé pour essayer de "grossir" artificiellement le jeu (un classique de kickstarter). Malheureusement cela nuit au jeu qui devient inutilement long et lourd, sans s'enrichir.

Robo Rally

Robo Rally est un jeu de programmation et de parcours. Les joueurs sélectionnent à l'avance les cartes correspondants aux déplacements qu'ils commanderont à leur robots. Les déplacements seront effectués par la suite, dans un ordre déterminé par un nombre inscrit sur les cartes. Entre les robots adverses et les obstacles des différents plateaux de jeux, il faut être le premier à réaliser un parcours prédéfini, comportant plusieurs "checkpoints".

Le jeu manque de fluidité et certaines parties sont vite ennuyantes s'il y a peu d'interactions entre les joueurs. De plus les obstacles des plateaux peuvent vite compliquer la tâche, sans toujours apporter un réel amusement supplémentaire. Il faut vraiment aimer le style.

Roll for the Galaxy

Après le succès de Race for the Galaxy et de ses multiples extensions, les auteurs proposent une version où les cartes ont été remplacées par des dés. Les grands principes du jeu restent les mêmes, des actions simultanées, une course pour explorer l'univers, et combiner les pouvoir que nous apportent les nouveaux mondes et développements.

J'avais eu beaucoup de mal à entrer dans l'univers de Race for the Galaxy, et j'espérais que ce serait plus simple avec la version dés. Et bien ce fut le contraire. Très mécanique, avec une gestion des dés originale, mais que l'on oublie très vite, à moins de jouer régulièrement. Or quand on adhère pas tout de suite, les parties ont tendance à trop s'espacer. Bref, j'ai laissé tomber.

Sherlock Holmes : Détective conseil

Mesurez-vous au célèbre détective au travers des 10 enquêtes proposées dans la boîte. Sherlock Holmes Description complète du jeu

Le jeu semble avoir beaucoup de succès, mais dans notre groupe où ne ne sommes pas très adepte des jeux coopératifs, il nous a laissé relativement indifférents, et aujourd'hui personne n'a envie d'y revenir.

Terramara

Les auteurs des excellents Egizia et Leonardo Da Vinci recyclent une nouvelle fois le mécanisme de pose d'ouvriers. Ils font varier les actions disponibles grâce à un astucieux plateau composé de tuiles réversibles. Grâce à ces actions nous devons collecter des ressources qui nous permettent d'acheter des cartes qui rapporteront des points de victoire.

Le jeu est plutôt bon, mais il n'est pas original et surtout il est mal édité. La lisibilité du plateau, des actions, des cartes et surtout de la "piste" des charrettes laissent grandement à désirer. Quined Games a clairement privilégié le tape à l'oeil au détriment du pratique. Malheureusement ça devient une habitude chez cet éditeur.

TTMC

J'étais attiré par le concept de l'auto-évaluation sur le domaine sur lequel on nous questionne. Plus on s'estime fort, plus la question et difficile, mais plus on marque. Sauf qu'ici tout se joue sur un plateau squr lequel on avance et qui indique le type de question qui devra nous être posé.

Le jeu est mal fini. Le système sur le plateau est d'un autre âge et les questions sont du n'importe quoi. Les niveaux 1 à 3 n'ont aucun intérêt et les 10 sont souvent absurdes (Sur le thème médicament, il vous faudra trouver un prix sur un site de vente en ligne...). C'est désespérant de voir un concept intéressant aussi mal exploité.

Zoondo

Zoondo est une bataille entre 2 espèces extra-terrestres, à mi-chemin entre les échecs et les jeux de cartes à collectionner. Les pions sont remplacés par des cartes, l'échiquier est virtuel, de taille 6x6 cases, et chaque carte représente un personnage qui a ses propres capacités de déplacement et de combat. Ajoutez à celà 3 atouts jouables, à tout moment, au lieu de déplacer une carte. Le but est d'éliminer la carte qui porte l'emblême de son adversaire.

Zoondo mélange les 2 genres, mais de façon maladroite. Je ne suis pas spécialement adepte de ces jeux, mais ici on ne retrouve ni l'aspect stratégique des échecs, ni la tension des jeux de cartes à collectionner.




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