Les parties du 24/02/2019

CARPE DIEM - 1 partie
Une nouvelle partie à 3 joueurs.
Malgré mes piètres résultats je continue d’apprécier Carpe Diem et j’en redemande, même si je trouve tout de même le poids du hasard non négligeable.
Et encore aujourd’hui je n’aurais pas fait illusion bien longtemps. Je perds des points dès les premiers décomptes et j’aurais bien du mal à en marquer de façon conséquente par la suite. Pourtant je suis toujours bien placé (1er ou 2e) sur la piste des banderoles, ce qui me permet d’avoir encore du choix au moment de scorer les objectifs. Mais quelques erreurs dans le placement de mes bâtiments me seront une fois de plus fatales.
L’avantage c’est que j’ai encore une belle marge de progression devant moi.
FIRENZE - 1 partie
Une nouvelle partie à 3 joueurs.
Depuis notre 2e partie, j’apprécie beaucoup Firenze qui correspond bien à ce que j’aime dans le jeu allemand. Il est relativement simple, fluide et offre néanmoins une bonne profondeur de jeu avec des possibilités de gêne et de coup-bas (mais pas trop). Tout ça en à peine plus de 60mn, c’est une belle réussite.
J'ai été un peu dissipé lors de cette partie et le manque de suivi finira par me coûter une victoire que tout le monde pensait acquise. Et bien non, et les scores ont été particulièrement serrés, preuve s'il en fallait une que le jeu est bien équilibré, puisque nous avons tous joué de façons très différentes.
STEPHENSON'S ROCKET - 1 partie
Une partie de re-découverte à 3 joueurs.
Le jeu a déjà été évalué dans sa première édition, d’il y a 20 ans. J’avais envie d’y revenir depuis longtemps car j’avais le souvenir de ne pas en avoir fait le tour. J’ai donc rapidement craqué sur la nouvelle édition en promotion.
Cette nouvelle édition ne se contente pas d’être plus esthétique, elle améliore la lisibilité et la jouabilité du jeu en remplaçant les billets de banque, les cartes « part » des sociétés et les jetons investissement par des échelles et un tableau sur le plateau. Pour le reste par contre, rien n’a changé. Le jeu est direct et un assez déroutant au premier contact.
En effet, on doit anticiper la façon dont les lignes de chemin de fer vont progresser, mais tout le monde contrôle ces lignes. Il apparaît donc "facile" de faire en sorte de ne pas passer par une gare ou d’éviter une ville qui rapporterait trop à un adversaire.
C’est en partie vrai, et cela impose des collaborations temporaires. Mais surtout il y le véto qui permet de mettre aux enchères la direction qu’un joueur veut faire prendre à une ligne. Et ça change tout.
Le jeu n’est donc pas à mettre entre toutes les mains, mais il est à l’image des Knizia de cette époque, original et tendu.